Nous recevons réponse à notre précédent courrier. Elle n'est pas positive et tient en quelques lignes "le placement d'une borne amovible n'est pas envisageable car il coûte très cher et l'Administration communale ne peut pas monopoliser un service de garde, lorsque le système tombera en panne" et le problème est remis à plus tard "lors de l'étude globale visant à l'amélioration des voies de communication du faubourg de Mons vers le centre ville, la situation du Chemin du Vieux Ath sera réexaminée"
Pareille fin de non recevoir après des années de tergiversation et de fausse bonne volonté ne pouvait nous laisser sans réaction. Extraits de notre réponse :
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(...) la solution proposée est écartée sur base de critères de coût et de logistique sans que nous recevions aucune information chiffrée ni aucune description du dispositif dont il est question. La solution a-t-elle réellement été envisagée sous un angle constructif et positif ?
Nous ne souhaitons pas polémiquer sur la façon dont cette problématique est gérée par la commune depuis de nombreuses années mais nous attirons votre attention sur quelques éléments objectifs qui vous n’avez pas pris en compte dans votre réponse :
- Une borne fixe pourrait très bien faire l’affaire…et la pose d’une borne amovible n’avait été évoquée que dans un deuxième temps non par nous mais par l’administration communale pour permettre le passage d’un éventuel service d’urgence (par ex. pompiers), ou d’un possible camion de livraison, … Nous n’avons aucune objection pour ce qui nous concerne pour la pose d’un obstacle fixe, comme prévu dans les premiers projets.
- Il existe des dispositifs non automatiques qui empêchent la circulation automobile de transit et dont le coût est faible (par ex. potelet en bois ancré dans le sol et fixé par un cadenas – barrière - … )
- Nous avons aussi ouvert d’autres pistes de réflexion comme la pose d’une caméra de surveillance (qui permettrait de prévenir les actes de vandalisme et de verbaliser les automobilistes contrevenants sans mobiliser physiquement des forces de police) ; le barrage de la rue aux heures de pointes par un dispositif mobile (qui pourrait être actionné par des riverains bénévoles), etc.
Nous restons dans l’attente de vos propositions dans le cadre de l’étude globale que vous annoncez.
Nous espérons que les aménagements futurs prendront suffisamment en compte les réels besoins de promotion des modes doux de transport vers (et dans) le centre ville… et pas uniquement la décongestion du trafic automobile et la gestion des parkings. La région wallonne a donné de nombreuses recommandations en ce sens qui tardent à ce mettre en œuvre à Ath.
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